Le CV québécois est bien sûr rédigé en français, mais il reste très influencé par le modèle américain.
Le CV québécois se construit ainsi de cette manière :
• A l’image du CV américain, il peut s’étaler sur plusieurs pages, les expériences professionnelles étant exposées avec la plus grande précision.
• Il met généralement en avant un objectif de carrière.
• Les lois anti-discrimination sont également passées par là. Aussi, vous ne devez indiquer au sein de la rubrique « Etat civil » ni votre âge, ni votre sexe, ni votre nationalité, et encore moins votre religion…
• La rubrique « Expérience professionnelle » doit venir avant « Formation ». Les fonctions occupées, les missions réalisées et les résultats obtenus sont largement détaillés.
• Particularité québécoise : les dates s’inscrivent plutôt à droite.
• Les langues gagnent à être séparées de la rubrique « Formation ».
• Vous pouvez prévoir une rubrique « Compétences particulières » pour exposer vos connaissances en informatique, mais aussi la maîtrise de telle ou telle technique, ou machine, qui présente un intérêt pour votre interlocuteur.
• Les références sont bienvenues. Indiquez en fin de CV « Références disponibles sur demande » et demandez à des professeurs ou personnalités du monde de l’entreprise d’écrire une lettre de recommandation.
Source : Le CV en langue étrangère, éditions Espace Grandes Ecoles.
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Vous avez intégré ou intégrez bientôt le marché du travail ? Connaissez-vous le principe du mentoring ? Catherine Thibaux, coach certifiée de la SF Coach, fondatrice d’InterVenir Consulting et auteure de « Les clefs d’un mentoring réussi », aux éditions StudyramaPro, explique pourquoi le mentoring peut aider un jeune diplômé à s’intégrer et progresser dans sa vie professionnelle.