Optez pour une accroche courte et dynamique. Par exemple : « Actuellement en 1ère année de licence « Information et communication » et disponible tout au long de l’année à temps partiel, je désire occuper un poste de [intitulé du poste] dans votre enseigne. »
La lettre de motivation n’est pas toujours nécessaire. Dans certains cas, il est recommandé d’aller directement se vendre, CV à la main, auprès des employeurs potentiels. C’est notamment le cas pour des métiers saisonniers tels que plagiste, serveur… Mais attention à votre présentation. Elle sera alors déterminante, de même que la motivation affichée à ce moment-là. En revanche, pour les postes plus classiques en entreprise, la lettre paraîtra indispensable. D’autant plus que les candidats sont nombreux pour les jobs d’été. La lettre vous permettra de vous différencier de la concurrence. D’où l’intérêt de bien la construire.
La lettre de motivation doit tenir sur une page. En général, 15 à 20 lignes suffisent pour tout dire. La présentation doit être aérée. Elle doit être rédigée dans un français correct, sans faute de syntaxe ni d'orthographe. Privilégiez un style professionnel plutôt que littéraire. N’hésitez pas à injecter quelques mots-clés de l’annonce à laquelle vous répondez. Si vous faites une candidature spontanée, utilisez (de manière mesurée) le vocabulaire propre au job en question et à l’entreprise par exemple.
Dernier conseil et non des moindres. Tout comme pour un emploi, chaque lettre doit être personnalisée en fonction du poste et de l’entreprise. Dans la mesure du possible, adressez-la à un interlocuteur identifié au préalable.
Rachida Soussi
Vous avez intégré ou intégrez bientôt le marché du travail ? Connaissez-vous le principe du mentoring ? Catherine Thibaux, coach certifiée de la SF Coach, fondatrice d’InterVenir Consulting et auteure de « Les clefs d’un mentoring réussi », aux éditions StudyramaPro, explique pourquoi le mentoring peut aider un jeune diplômé à s’intégrer et progresser dans sa vie professionnelle.