Qu’il s’agisse d’une auxiliaire de vie sociale, d’une aide médico-psychologique ou d’un agent à domicile, les métiers du social nécessitent une forte dose de motivation et de ténacité ainsi que rigueur et facilité à communiquer.
Souvent confrontés à des situations difficiles, les professionnels plébiscitent le caractère humain qui en ressort et la constitution de liens intra ou, le plus souvent, intergénérationnels. Leur rôle étant en effet de contribuer le plus possible au bien-être physique et moral de la personne dont ils s’occupent. Que ce soit d’une personne âgée, d’un enfant ou d’une personne handicapée dont il faille s’occuper, ces professions constituent un lien social indispensable.
Ces professions rentrent dans le cadre d’une finalité bien déterminée : lutter contre le chômage et les violences urbaines, réduire l’exclusion et favoriser l’intégration par différents moyens. Favoriser la médiation (agent de développement local plus communément appelé « médiateur »), superviser et conduire des projets de quartiers (chef de projet urbain) ou encore travailler à une meilleure intégration des jeunes en difficulté (conseiller en mission locale d’information et d’orientation)…
Toutes ces professions donc, bien qu’exigeantes, ont un dénominateur commun, la notion de « social » : elles participent au bien-être des citoyens et à l’amélioration de leurs conditions de vie. Alors, si vous cherchez à faire le bien autour de vous, n’hésitez plus, ce secteur est fait pour vous !
Rédaction Studyram@Emploi.com
Vous avez intégré ou intégrez bientôt le marché du travail ? Connaissez-vous le principe du mentoring ? Catherine Thibaux, coach certifiée de la SF Coach, fondatrice d’InterVenir Consulting et auteure de « Les clefs d’un mentoring réussi », aux éditions StudyramaPro, explique pourquoi le mentoring peut aider un jeune diplômé à s’intégrer et progresser dans sa vie professionnelle.